Le personnel d'assurance qualité de Call of Duty : Black Ops 6 se met en grève

Le personnel d'assurance qualité de Call of Duty : Black Ops 6 se met en grève (Image Source : Callofduty.com)

L'équipe d'assurance qualité d'Activision pour la franchise Call of Duty s'est mise en grève pour protester contre les nouvelles politiques de retour au travail de l'entreprise. Plus de 300 membres de l'équipe ont signé une pétition réclamant des options de travail à domicile.

Rohith Bhaskar (traduit par Ninh Duy), Published 10/30/2024 🇺🇸 🇪🇸 ...

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Plus de 300 employés du bureau d'Activision à Eden Prairie (Minnesota) ont annoncé une grève pour protester contre la politique de retour au travail de l'entreprise une grève pour protester contre la politique de retour au travail de l'entreprise. Les employés affirment que Microsoft a mis en place une politique stricte de retour au bureau "malgré plus de deux ans de travail à domicile entièrement ou en hybride avec le bureau".

L'équipe travaille sur la franchise Call of Duty, y compris le récent Call of Duty : Black Ops 6, et beaucoup pensent que l'entreprise refuse leurs demandes pour les pousser à démissionner. Ils affirment qu'Activision refuse même des aménagements aux travailleurs dont l'état de santé est certifié par l'ADA.

Dans une déclaration partagée par l'ABK (Activision Blizzard King) Workers Alliance sur X, le groupe explique qu'il a été "forcé de travailler à plein temps dans le cadre d'une politique impitoyable et inégalitaire" en janvier de cette année.
Ils affirment que l'entreprise a évité les demandes d'information sur les raisons pour lesquelles leurs postes "exigent qu'ils travaillent au bureau en tant que fonction essentielle" et les a redirigées vers le "comité de négociation".

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L'entreprise aurait manqué de respect aux travailleurs en envoyant, à l'occasion du Mois national de sensibilisation à l'emploi des personnes handicapées, un courrier électronique représentant une personne handicapée travaillant à domicile. Alors que les employés n'ont pas le droit d'utiliser "cet outil essentiel pour l'égalité d'accès". Ils reprochent également à l'entreprise de "se faire le champion des DE&I alors qu'elle ne cesse de le faire".