Nous ne pouvons pas nier avoir eu un petit "effet waouh" au déballage. L'ensemble de la façade du 12 pouces est apparue très élégante, presque noble. A l'exception du dessous en plastique , l'ensemble du boitier- y compris le cadre de l'écran - est couvert d'un brillant vernis noir. HP propose également une variante blanche dans les configurations premium. Des éléments de design en surbrillance argentée et un cadre orné offrent à notre modèle d'essai un noble contraste et fixe des accents contrastés. Le touchpad se présente comme particulièrement frappant - et même utilisable comme un miroir.

Aussi beau que soit la  brillante surface au déballage, elle ne peut pas garder longtemps secret ses inconvénients dus à l'utilisation quotidienne. Les empreintes digitales, la poussière et les reflets dans la zone du cadre de l'écran, et qui pourrait s'avérer négatif pour le travail, deviennent rapidement évidents et font que le tissu de nettoyage inclus soit promu au rang de meilleur ami.

HP cache un boitier très robuste et fabriqué en haute qualité sous le couvercle. Les lacunes, joints et la finition sont presque sans défauts et indiquent une bonne qualité de fabrication dans l'ensemble. Nous ne pouvons pas vraiment dire si c'est un boitier unique ou du à la production, mais nous avons pu constater une légère déformation du boitier, qui fait que la partie gauche ne repose pas sur la surface et provoque l'inclinaison de l'appareil. La raison pourrait être la persienne dans cette zone et la hausse de température provoquée par cela, ce qui conduit à un échauffement du matériau dans cette partie du boitier. Nous avons également trouvé un montage pas très précis, composant en saillie  sur l'arrière de l'appareil, dans  la région de la     charnière gauche de l'écran , ce qui n'est pas dans le champ habituel de vue, mais représente un vice dans le design du produit, de toute façon.

En retour, le portable atteint presque un score maximale en terme de résistance à la pression et  révèle à peine une petite faiblesse du couvercle d'écran. Toutefois, cela n'entraîne pas de distorsions de l'image, même à plus forte pression et donc joue jusqu'au bout, son rôle de protection habituelle, comme prévu. Il n'y a pas de faiblesses apparentes à l'intérieur, et il offre avec divers couvercles faciles à ouvrir, un accès confortable aux composants. La batterie issérée à l'arrière est fermement maintenue et s'adapte avec précision au boitier.

Les charnières d'écran donnent une impression de solidité et tiennent fermement l'écran en position. Un craquement audible à environ un angle d'ouverture de 45 ° semble un peu inhabituel pour nous. Nous n'avons pas pu établir la cause ni aucune restriction du à cela, cependant. L'angle limite d'ouverture maximal de l'ordre de 130 ° peut se révéler un peu gênant, selon le domaine d'application. Comme dans le déjà testé HP550et HP Compaq 6735s, le Pavillon dv2 a à faire sans un crochet d'écran . Ceci fonctionne beaucoup mieux et est sans doute est le résultat d'un écran plus petit et plus léger.

HP sort seulement un peu de la tendance avec un poids de 1.63 kg et des dimensions du boitier de 292 mm (longueur) x 240 mm (largeur) x 23.7 – 33.7 mm (hauteur) malgré son apparence de 4:3.

Les concurrents comme le Dell Mini 12 et le Samsung NC20 se démarquent, notamment avec quelques centaines de grammes de moins, surtout depuis le Pavillon dv2 franchit la barre des 2kg de poids de Voyage avec une alimentation relativement lourde de (460g).

En ce qui concerne la connectivité, le HP Pavilion dv2 atteint à peine le niveau des netbooks. 3x USB, sortie analogique VGA pour connecter des moniteurs externes, prise casque, entrée microphone, Ethernet 10/100, un verrou Kensington et un lecteur de cartes 5-en-1 ne proposent que des fonctions basiques.

Au contraire, la distribution des connectiques est très favorable et, à notre avis, ne paurrait etre optimisée qu'en rammenant les connexions audio sur la face avant. Par conséquent, le client dispose de suffisamment d'options de connexion pour disques durs externes, appareils photo ou moniteurs sans être gênés par un enchevêtrement de câble.

Le futur client a à faire sans possibilités d'extension via fente ExpressCard ou plus rapide, par ports FireWire ou eSATA. La version, équipée d'une carte graphique ATI HD3410, a juste en plus un port HDMI, qui permet la transmission  d'image numérique et de sons à des téléviseurs ou des moniteurs externes. Cela a été omis dans notre modèle.

Digne de son rang, le HP développe la communication sans fil via Bluetooth ou WLAN  802.11 b / g  et couvre les besoins importants des utilisateurs.

Hewlett-Packard intègre une webcam VGA, qui fait face aux autres faiblesses, sous  des conditions de lumière défavorables, avec un microphone pour Skype et co. dans le cadre de l'écran.

Les fournitures inclues doivent être décrites comme maigres, mais pas inhabituelles. En dehors du très nécessaire chiffon de nettoyage, vous ne trouverez qu'un guide de démarrage rapide sous forme de poster et  un guide d'instruction pas vraiment grand. Le disque systeme a doute été omis pour faire face à l'absence d'un lecteur optique et l'utilisateur doit se contenter de la partition de récupération disponible, au pire cas possible.

HP fourni notre configuration de départ à l'essai avec Microsoft Windows Vista Home Basic comme système d'exploitation et donc également établit une ligne de démarcation entre ce détail et les  configurations plus cheres qui peuvent se retrouver avec Vista Home Premium.

Vu dans l'ensemble, il pourrait être avantageux de prendre un modèle plus cher au goût, car avec Vista Home Premium, un disque dur de 320 Go ou 500 Go , une carte graphique dédiée ATI HD3410 avec 512 DDR2 et avec HDMI, une batterie 6 cellules, un lecteur  optique externe (seulement pour les modèles haut de gamme) et l'option de couleurs (noir / blanc), il y a quelques fonctionnalités incluses qui permettent un usage beaucoup plus souple et plus de valeur. Vu de près, le prix de 799,00 Euros SRP parrait sans doute peu trop et est au niveau d'ultraportables bien plus efficaces. 

Vu dans l'ensemble, il pourrait être avantageux de prendre un modèle plus cher au goût, car avec Vista Home Premium, un disque dur de 320 Go ou 500 Go , une carte graphique dédiée ATI HD3410 avec 512 DDR2 et avec HDMI, une batterie 6 cellules, un lecteur  optique externe (seulement pour les modèles haut de gamme) et l'option de couleurs (noir / blanc), il y a quelques fonctionnalités incluses qui permettent un usage beaucoup plus souple et plus de valeur. Vu de près, le prix de 799,00 Euros SRP parrait sans doute peu trop et est au niveau d'ultraportables bien plus efficaces.

Un écran 12.1 " LED BrightView du fabricant AU Optronics, qui peut etre livré avec une résolution orientée  pratique de WXGA 1280x800 (124,7 dpi) pixels, trouve un usage dans le HP Pavilion dv2. En comparaison des concurrents 10,1" WSVGA 1024x600 pixels ( 117 dpi), vous disposez d'un plus grand écran de travail à portée de main. Cela conduit à une réduction agréable de la routine de défgilement et offre plus d'aperçu. Un plus petit et à peine perceptible inconvénient est  la valeur du dpi relativement plus élevée, qui est responsable  d'une représentation légèrement plus petite du contenu de l'écran.

L'écran AUO se distingue par un très bon éclat de 87%, ce qui peut notamment être rapporté au rétroéclairage LED. Subjectivement, la distribution de la luminosité semble également être très constante; à peine sur l'affichage d'un contenu noi, une légère formation d'ombres est évidente. Aussi exemplaire et presque standard dans le même temps, sont les bonnes valeurs de luminosité de 200 cd/m2. L'HP atteint une moyenne de 206 cd/m2 et offre, au moins théoriquement, de bonnes conditions pour une bonne lisibilité en environnement de travail également lumineux.

En opposition à celà, les réflexions qui sont causés par la lisse surface d'écran sont défavorables et nécessitnt de l'habitude. Plus sombre est le contenu affiché et plus brillantes sont les conditions environnantes de lumière, plus cela se remarque et dérange. En intérieur, la haute luminosité pourrait avoir un avantage, au moins par rapport aux variantes d'écrans plus sombres, les perturbations en plein air deviennent si immenses que le travail n'est possible qu'avec d'importantes restrictions.

L'avide Athlon Neo MV-40 a un inconvénient majeur avec un TDP de 15 W en ce qui concerne la consommation d'énergie par rapport au processeur Intel Atom concurrent, qui se contente seulement de 2,5 W. Sachant cela, AMD place les améliorations provenant du K8 dans le secteur des subnotebooks et tente de marquer des  points avec un bon rapport performance/prix  dans la catégorie de départ.

Les Athlon Neo avec une fréquence d'horloge de 1,6 GHz a un coeur processeur, qui peut se rabattre sur une mémoire cache L2 de 512 Ko et est relié au Northbridge avec un FSB de 1600 MHz (HT800). Ceci est soutenu par 2 Gb DDR2-800 RAM (1 canal mémoire) et une carte graphique ATI Xpress X1270, qui ne possède pas son propre espace de stockage. Il doit  «emprunter» jusqu'à un maximum de  894 Mb via l'HyperMemory du processeur et donc présente, comme c'est commun sur l'ensemble de puces  graphique, un plus ou moins grand effet de freinage. Ceux qui envisagent d'équiper entre autre leur système avec plus de stockage principal, doivent remplacer le module existant par un module de 4 Go, car il ya une seule fente disponible.

Les Athlon Neo peut se distinguer nettement de la gamme Intel Atom par les résultats du benchmark du processeur en fonction de ses besoins avec 5801 points dans le Dhrystone, 4910 points dans le Whetstone, 1287 points dans le Cinebench R10 et 61 points dans le 3DMark'06 CPU. Cela devient encore plus évident dans les performances graphiques car la carte graphique utilisée ATI X1270 a un plus de performance de près de 100% par rapport à ce que la GMA 950 d'Intel, qui domine dans les netbooks, peut offrir. 337 points dans le 3DMark'06 est au niveau de l'Intel GMA X3100 et le Cinebench R10 OpenGL Shading montre une nette distance avec 557 points. Mais l'alternative d'ATI n'est pas convenable pour les calculs 3D ou le jeu 3D avides de performances, de toute façon et et n'affecte que les fonctions de base. Le système AMD  ne peut pas profiter aussi bien dans l'application de référence PCMark'05 avec 1878 points et atteint seulement un avantage de 20% par rapport aux netbook concurrents du même fabricant: HP Mini 2140.

Au contraire, le système présente un impression conflictuelle au vu de la vitesse percue. Comme vous pouvez presque sentir un bonus de performance en comparaison à la concurrence Atom, il s'essoufle rapidement quand il s'agit de l'exécution simultanée de plusieurs programmes . Le système semble être partiellement bloqué et ne donne que des réactions lentes. L'inconvénient d'un noyau processeur devient évident sur des tâches quotidiennes par rapport aux variantes double coeur, qui réagissent beaucoup plus souplement et peuvent fournir des performances. Ce comportement est comparable, bien qu'un peu plus lent, aux portables Intel Celeron M portables, comme par exemple, le HP 550 que nous avons testé il y a quelque temps. Vous ne pouvez pas établir de plus grandes restrictions, mais tout prend un peu plus de temps que ce à quoi vous être habitué avec des configurations doubles coeur de départ.

Le HP Pavilion a été équipé d'un modèle Western Digital de grande capacité de 160 Gb (brut) en ce qui concerne le disque dur, et qui fournit un taux de transfert moyen de 50,4 MB/s avec 5400 tr/min. Ces taux sont de bonnes fréquences contemporaines et qui ne causent aucune restrictions.

Nous avons à vivre sans un lecteur optique, qui est inclus dans d'autres configurations, de prix plus élevé, cependant.

Bruits système

Avec de 35,2 dB (A) à 36,2 dB (A) qui accelère dans la masse des applications de base telles que Office, le navigateur, iTunes ou PictureViewer, le ventilateur toujours en rotation reste calme, même si il est présent et audible. Le bruit est de nature subjectivement agréable, qui n'irrite pas autant que d'autres ventilateurs bruyants ou tournant à une vitesse plus élevée.

Le maximum atteint 43,3 dB (A), mesurée sous charge a essentiellement un caractère tout aussi discret, mais se révèle être désagréable et avoir des effets gênants après une période plus longue. En conséquence, le Pavillon dv2 ne peut pas tenir tête aux faibles niveaux sonores de nombreux netbooks et est clairement inférieur à ceux-ci sur le plan des bruits de fonctionnement.

Le HP Pavilion dv2 avec un processeur AMD Athlon Neo MV-40 CPU et une carte graphique ATI X1270 tombe à pic dans le vide entre netbooks et ultraportables, en ce qui concerne les performances et la configuration. Mince, chic et orienté vers un groupe cible, HP nous présente une combiunaison bien conçue de performances et de mobilité.

Cependant l'écran réflétant et de faible contraste, l'autonomie médiocre, le bruit pas toujours discret, et les quelques défauts trouvés dans notre model de test, ont un effet restrictif. Le fabricant devrait corriger cela aussi vite que possible de sorte que les très bons attributs ne soient pas injustement relativisés.

Le HP Pavilion peut arborer, du bon côté, la très chic et mince apparence, les détails bien élaborés, le très bon clavier, les relativement bonnes performances, le bon boitier et la bonne qualité de fabrication dans l'ensemble ainsi que  le relativement bon écran.

En comparaison au poids du portable, la configuration des interfaces et la consommation d'énergie sont médiocres. Bien entendu, ces points sont sujets à des améliorations, mais il est, en ce qui concerne la construction, difficile d'améliorer un produit qui est déjà en cours de fabrication et cela doit être pris en considération pour un éventuel successeur.

Il y aura une rude bataille en particulier avec la forte pression concurrentielle qui arrive sur le Pavillon dv2 de deux directions. L'émergence, entre temps, de netbooks de la catégorie 12"et les ultraportables bien établis, vont faire que le nouveau venu apparaisse plutôt cher. La situation devrait également être intensifiée grâce à la disponibilité des premiers produits à base de processeurs Intel CULV et donc exactement le même groupe cible que AMD vise.